Le répertoire essentiel des femmes et des hommes qui font le tissu économique de notre région, un point de contact précieux pour tous ceux qui entreprennent.
Le succès ce n’est pas seulement une question de talents individuels, c’est surtout et bien souvent une histoire de rencontres, de partenariats et de collaborations. La Romandie regorge d’énergies et d’expertises qui, si on les met en commun, ont le potentiel de faire ce territoire un pôle d’excellence, de créativité et de croissance unique en Suisse et au cœur de l’Europe.
Né en 1981 à Genève, Gregory Feret a grandi à Gland. Il a effectué son apprentissage d’employé de commerce à la Winterthur à Rolle, où il a travaillé jusqu’à ses 22 ans. Fin 2003 déjà, il crée sa première société dans le conseil en assurances : Actuaire Conseil du Léman (ACL). Cette petite structure va croître organiquement jusqu’à sa rencontre avec Jean-Maurice Cailler qui avait sa propre structure.
Né en 1975 à Lausanne, Vincent Subilia a grandi dans cette ville, puis à Etoy, dans la maison de son arrière-grand-mère, la sœur de l’écrivain Charles Ferdinand Ramuz. Il a été au gymnase de Nyon pour obtenir une maturité latin-anglais, avant de s’expatrier une année pour suivre des cours linguistiques à Oxford, puis Heidelberg et Salamanque. À son retour, il passe quatre années à la Faculté de droit de l’Université de Lausanne, puis de Bâle.
Marié, père de quatre enfants, Fabrice Léger a vu le jour à Genève en 1975. Après avoir grandi à Veyrier, il a fréquenté les bancs du Collège Claparède avant d’opter pour la Faculté de droit. Rapidement il bifurque vers HEC pour y décrocher un master en management en 2000. Au début de ses études, il crée l’association COBWEB en 1996. Son idée est de s’inspirer de la Junior Entreprise, mais dans l’accompagnement des entreprises sur le web. Rapidement, ils se retrouvent une vingtaine de jeunes, y compris de l’EPFL. Les premiers mandats arrivent.
Né en 1973 au Locle de parents droguistes, Vincent Tattini a grandi dans la cuisine que ses parents ont repris vers 1977 : L’Hôtel de la Vue des Alpes. Toujours au travail, ses parents l’envoient en internat chez les Chanoines de Saint-Maurice (VS) où il y suivra l’école secondaire, puis son collège.
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