Valérie Pictet Benoit

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Ses valeurs ? La confiance, la fiabilité, le respect et l’honnêteté.

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Née en 1974 à Genève, Valérie Pictet Benoit est partie vivre au Canada avec sa mère (d’origine haïtienne) en 1987, suite au divorce de ses parents. D’illustres personnes figurent parmi ses ancêtres directs, notamment dans la famille Pictet. C’est à Montréal qu’elle décroche un bac scientifique, puis elle enchaîne trois formations universitaires : un bachelor en psychologie à Concordia, HEC à l’Université de Montréal et, enfin, un diplôme en management et leadership à McGill.  Entre temps, elle passe ses vacances à Genève dans sa famille et c’est lors d’un stage effectué chez un client de la société créée en 1985 par son père Christian Pictet, Fidepar, qu’elle a eu un déclic qui a conduit à sa reconversion dans le management. Après McGill et une expérience professionnelle dans le domaine administratif et artistique, alors qu’elle vivait désormais seule depuis 5 ans, elle décide de se rapprocher de sa famille et de revenir s’établir à Genève fin 2001. « Cela a été un choc culturel incroyable », se souvient-elle encore. « Mes quinze années passées à Montréal m’ont beaucoup apporté. Cette ville, un bout d’Europe américanisé, allie les bons côtés des deux continents, dont le positivisme  (« Yes we can ») des Américains. »  

Finalement, elle se décide à rejoindre son père au sein de Fidepar. Dès 1992, son frère était devenu administrateur de la société. Il s’agit d’une société de services qui accompagne les entrepreneurs de la création de leur société à la tenue de leurs comptes. Avec un peu moins d’une dizaine de collaborateurs, la PME s’occupe essentiellement de petites sociétés, mais aussi de personnes physiques. Valérie Pictet Benoit favorise le travail en réseau. « Je veux mettre la qualité avant le profit ». Elle a repris la direction de Fidepar dès 2013, trois ans avant le décès de son père.

Mariée et habitant Saconnex-d’Arve, cette mère de trois enfants adore la danse (elle a rencontré son mari à un cours de salsa) et donne volontiers sa propre définition du bonheur : « Le bonheur n’est pas une fin en soi, mais un chemin fait de petits pas ».

Sa réalisation ? « Ma cellule familiale. J’ai une réelle admiration envers mes trois enfants, d’autant que je viens d’une famille déchirée. Je suis fière de pouvoir concilier vie privée et vie professionnelle. Ce qui n’est pas toujours simple. »

“J’aime la possibilité d’échanger avec des entrepreneurs qui font face parfois aux mêmes problématiques. Sans oublier le volet formation grâce aux workshops.”

Valérie Pictet Benoit –